L’héroïne, Magali, achète un olisbos : je ne connaissais pas ce mot, désignant un godemiché, mais il me plaît beaucoup, il me semble à lui seul tout un programme de plaisir. Or, voilà que la jeune femme est comme ensorcelée par l’objet dont elle ne peut plus se passer. L’histoire prend des accents presque fantastiques lorsque l’auteure adopte le point de vue de l’objet, devenu vivant.
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